vidhiyajña, sm. sacrificio eseguito secondo la regola, atto cerimoniale di adorazione
IAST | devanāgarī | Vocabulaire du rituel védique - Renou | Dizionario Sani |
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gaṇa | गण | groupe de formules, ainsi les 7 groupes accompagnant l’oblation des gâteaux aux marut Āp. XVII, 16, 16 (cayana); certains groupes sont araṇye’nuvākya q.u., d’autres grāmye’nuvākya. | |
gati | गति | allongement d’une syllabe formant stobha par insertion de i ou de u ainsi hoyi ou ho-i pour ho; allongement d’une voyelle de type i ou u en āyi (ā-i) et ā-u Puṣpas. 520. | |
gadhā | गधा | toit (chadis) d’une voiture (anas) Āp. XIX, 26, 2; la voiture en question est dite trigadha (trigava H.) cf. Knauer Einl. zu M. III-V p. IX et gadākarṇa (ex corr.) M. V, 2, 6, 8 discuté ib. | sf. parte del carro |
garbhiṇī | गर्भिणी | type de chant consistant en 3 reprises, soit un total de 17 exécutions pour les 3 stances servant da base à ce chant CH. 308 | |
garhaṇa | गर्हण | rite consistant pour les épouses à “injurier” le cheval mort Āp. XX, 18, 4 (aśva). | agg. che contiene un’accusa, un biasimo; sn. sf. (ā) critica, biasimo, rimprovero (R, MBh) |
gavāmayana | गवामयन | (“cours des vaches” = des rayons solaires ou des constellations?) n. d’un rite sômique( type sattra; ekāha selon Mī. VII, 4, 13) durant 360 jours Āp. lll, 15-22: se compose (après le jour d’ouverture on atirātra et le caturviṃśa) de féries s’étendant sur six mois; puis du jour central (viṣuvant); enfin de féries parallèles aux précédentes sur six autres mois, suivies d’un mahāvrata et d’un atirātra conclusif, Eggeling II, 427 Caland Ārṣ, p, XXIV Lokesh Chandra éd, de JB. II, 1-80; bibliographie ancienne sur la nature (controveraée) du gavām dans les manuels. | sm. “andatura di vacche”; N. di una cerimonia (MBh) |
gavīḍā | गवीडा | autre n. de l ‘agnihotrī Vt. VII, 2, cf. note de Caland ib 3 | sf. vacca il cui latte è usato per una libagione |
gāthā | गाथा | versets mélangés aux stances, du ṛgv. dans la récitation du śaunaḥśepa Āp, XVIII, 19, 10 (rāja); le répons à une gāthā est tathā (le répons à une stance étant oṃ) ib. 13. | |
gārhapatya | गार्हपत्य | (“dominical”) n. du foyer du maître de maison APar, XXIII, 10, 2; c’est celui que le yajamāna allume en premier à l’ aide des araṇi chauffées au foyer domestique; situlé dans le hangar (sālā) à l’O., de forme ronde, il sert à cuire le havis Vr. I, 1, 1, 21 (haviḥśrapaṇaṃ pratitarpaṇaṃ ca … ājyasyādhiśrayaṇam 25); on en tire les tisons pour allumer d’autres feux; c’est le feu propre aux saṃskāra K. I, 8, 34. Dans le paśu il y a un foyer situé sur l’uttaravedi et d’où l’on prélève le tison, il joue le rôle du gārhapatya normal Āp.VII, 7, 3 cf. 6, 5; dans le soma l’ancien āhavanīya s’appelle gārhapatya (ou encore śālāmukhīya, śālādvārya) parce qu’il remplace l’ancien gārhapatya (purāṇa-gārhapatya) Āp. XI, 5, 10 cf. CH. 78 et Eggeling IV, 308. | sm. fuoco del capofamiglia trasmesso di padre in figlio (AV); sm. sn. luogo dove il gārhapatya è custodito (Śbr VII, 1, 2, 12) |
gīti | गीति | = vidhā | sf. canto; metro che consta di quattro versi di dodici e di diciotto sillabe alternati |
gṛhapati | गृहपति | n. que prend le yajamāna dans les sattra Āp. XXI, 2, 1; il est désigné comme mukhya Ś. XIII, 14, 4 ou “chef” (des participants) ; ailleurs gṛhapati = yajamāna, dans les formules d’invite, ainsi Āp. XII, 27, 6. | sm. padrone di casa, capofamiglia (RV VI, 53, 2; AV); padrone di casa con particolari privilegi, specialmente nei grandi sacrifici. |
gṛhamedhīyā (iṣṭi) | गृहमेधीया (इष्टि) | n. d’une oblation (d’un caru) aux marut associés au sacrifice domestique, au cours du sākamedha Āp. Vlll, 9, 8; son caractère Mī X, 7, 35 | sn. sacrificio domestico |
goṣṭoma | गोष्टोम | l’un des 3 éléments du trikadruka, n. d’un ekāha Āp. XXII, 1, 6 (PB. XVI, 2 | sm. N. di una cerimonia ekāha (TS VII) |
gosava | गोसव | n. d’un ekāha de type ukthya où l ‘exécutant doit “se comporter comme une vache” (paśuvrata) pendant un an Āp. XXII, 12, 19 (TB. lI, 7, 6 PB. XIX, 13). | sm. N. di una cerimonia ekāha (Tur II); sacrificio di vacche |
graha | ग्रह | “puisée”’, généralement de soma (graha est aussi le nom du rite afférent, du vase afférent, et signifie par extension “libation”) Āp, XII, 7, 10. Dans la forme normale du soma il y a ainsi les graha suivants: au matin, upāṃśu antaryāma dvidevatya et analogues (aindravāyava maitrāvaruṇa āśvina śukra manthin āgrayaṇa ukthya dhruva les 12 ṛtu aindrāgna vaiśvadeva; à midi, śukra manthin āgrayaṇa les 3 marutvatīya ukthya; au soir, les 2 āditya mahāvaiśvadeva pātnīvata dhruva; en queue de cérémonie, hāriyojana. Les 8 premières puisées (l’upāṃśu étant d’un type à part) sont faites ainsi K. IX, 5, 17, l’unnetṛ puise avec le puisoir dans l’ādhavanīya et “d’un jet (dhārā) continu” il verse le soma dans le gobelet du hotṛ; puis le yajamāna verse dudit gobelet, en jet continu, dans le droṇakalaśa à travers le filtre; enfin l’adhvaryu reçoit le liquide dans son vase qu’il tient au-dessous du filtre. Ce sont les dhārā-graha par opposition aux adhārā-graha qui font suite et sont puisés au droṇakalaśa par le moyen de la pariplavā. Chaque graha a son récipient propre, cf. CH. 136. Il existe aussi des “puisées” de lait aigri (dadhi-graha CH. 148) et quelques autres. Dans le vāja il y a 17 soma-graha et autant de surā-graha K. I, 3, 36c. | sm. mestolo o coppa per attingere liquidi (specialmente il soma) da un contenitore più grande; quantità che può essere attinta con un mestolo o con un cucchiaio da un contenitore più grande, cucchiaiata o mestolata (spec. di soma) |
grāvan | ग्रावन् | les 5 pierres à pressurer, à savoir les 4 grāvan proprement dits et l’upāṃśusavana K. VIII, 5, 24; Vai. XI, 9; selon d’autres – ainsi M.II, 3,1, 21– il y a 5 grāvan et l’upāṃśu en sus. Dans le petit pressurage les tiges sont trappées par l’upāṃśu seul (manié par l’adhvaryu) CH. 153; dans le grand pressurage les officiants pressureurs, chacun avec sa pierre, frappent les tiges couchées sur le cuir et arrosées. Forme et dimension des grāvan K. I, , 36c. Synonyme plus rare adri. | sm. pietra per spremere il soma |
grāvastut | ग्रावस्तुत् | acolyte du hotṛ qui récite la louange des grāvan, c’est-à-dire les stances dites grāvastotra CH. 269 ou grāvastotrīyā. Āp,. XIII, 1, 6, durant le pressurage de midi; le grāvastut a part lui aussi à la consommation du soma Mī. III, 5, 27. | sm. che loda le pietre del soma; uno dei sedici sacerdoti |