विधियज्ञ - vidhiyajña

Louis Renou, Vocabulaire du rituel védique


vidhiyajña, sm. sacrificio eseguito secondo la regola, atto cerimoniale di adorazione

IAST devanāgarī Vocabulaire du rituel védique - Renou   Dizionario Sani
ākhara आखर = khara Vādh. (AO. I, 10; II, 158)   sm. N. di agni
ākhyāna आख्यान récit cyclique fait par le hotṛ au début de l’aśva, K. XX, 2, 22; le n. complet est pāriplavam ākhyāna; récit de śunaḥśepa (au cours du rāja) Ś. XV, 27   sm. 1. il dire, il comunicare; 2. dram. comunicazione di un avvenimento precedente; 3. racconto, storia, leggenda (Śbr)
āgur आगुर् portion préliminaire de la yājyā dite par le hotṛ (proprement “assentiment”) et consistant en ye3 yajāmahe Āśv. I, 5, 4 (= yājyādi) (Sāy- ad TS. I, 6, 11 “nous tous hotāraḥ incité par l’adhvaryu à réciter nous récitons, nous disons la yājyā”). N. de la formule (agniṃ) yaja, par laquelle l’adhvaryu incite le hotṛ à réciter (var.: hotā yakṣat dans le soma), formule dite par le maitrāvaruṇa. Cf. Eggeling V, 32.   sf. N. di esclamazioni o di formulari di approvazione (usati dai sacerdoti nei riti sacrificali)
āgūrtin आगूर्तिन् énonciateur de l’āgur M. V, 2, 5, 1 cf. ŚB. XI, 2, 4, 10.   agg. che pronuncia l’āgur (Śbr)
āgnimāruta आग्निमारुत (śastra) n. du 2me śastra au pressurage du soir, consistant en 24 ou 27 parties (notamment RS. III, 3; I, 87 et 143) Ś. IX, 1, 8   agg. che appartiene o si riferisce a agni e ai marut; linania rivolta a agni e ai marut (Śbr)
āgnīdhra आग्नीध्र 1-“boute-feu”, n. d’un auxiliaire du brahman (en fait, de l’adhvaryu), chargé notamment d’énoncer la formule astu śrauṣaṭ en réponse à l’āśrāvaṇa de l’adhvaryu; en outre, il allume les dhiṣṇya (soma) CH. 184 et plus généralement il entretient les feux; enfin il énumère les épouses des dieux CH. 71. Se tient tourné vers le S., le sphya en main.
2- hangar destiné à recevoir l’āgnīdhrīya Āp. XI, 9, 4 (bâti en poutres sur 4 poteaux, avec un mur fait de nattes; est situé mi à l’intérieur mi à l’extérieur de la mahāvedi cf. CH. 99).
   
āgnīdhrīya आग्नीध्रीय 1- l’un des dhiṣṇya, foyer circulaire au diamètre d’une coudée, qui est le foyer propre à l’āgnīdhra Āp. XI, 14, 2; dans le cayana, ce foyer est carré et en briques; K. XVIII, 6, 8.
2- = āgnīdhra, 2 B.VI, 27
   
āgrayaṇa आग्रयण l’oblation (iṣṭi) prémicielle; la principale est celle des grains de riz, en automne (vrīhīṣṭi); on mentionne aussi au printemps l’oblation d’orge (yaveṣṭi), en été celle des grains de bambou (veṇuyaveṣṭi), aux pluies ou en automne celle de millet (śyāmākeṣṭi); cf. Āp. VI, 29; K. IV, 6   sm. 1. la prima libagione di soma durante il sacrificio dell’agniṣṭoma; sf. oblazione consistente in primizie; sn. oblazione consistente in primizie alla fine della stagione delle piogge. (Śbr)
āgrayaṇagraha आग्रयणग्रह puisée prémicielle, rite du soma au 3me pressurage, CH. 335; la puisée est “à 4 jets” de soma, par 4 officiants ensemble, Āp. XII, 15, 3    
āgrayaṇasthālī आग्रयणस्थाली écuelle pour ladite puisée, XII, 1, 4   sf. vaso usato per la libagione āgrayaṇa (Śbr)
āghāra आघार les deux libations consistant en un versement de beurre chauffé, fait par l’adhvaryu tourné vers l’Est, K. I, 8, 42, et préliminaire aux prayāja. Le premier āghāra est effectué avec le sruva et dédié a prajāpati (srauva ou prājāpatya āghāra); le second avec la juhū ou sruc (jauhava ou srucya āghāra) Āp. II, 19, 9 (darśa), 12, 7; 14, 1. Ce n’est pas une vraie oblation, mais un “acte subsidiaire” Mī. IV, 4, 29./ Cf. Eggeling I, 124 NVO. 80 et 85   sm. lo spargere burro chiarificato sul fuoco in alcuni sacrifici (Śbr)
āchedana आछेदन = ālava B. I, 2    
āchedanī आछेदनी verset accompagnant le coupement des herbes darbha (darśa), Āp. I, 5, 5    
ājya आज्य beurre fondu, l’une des substances obligatoires essentielles. Apar. XXIII, 5, 3. Quand il est dit “ājya”, il faut entendre “ghṛta”, Vr. I, 1, 1, 19; K. I, 8, 36 et c. Le mot a une connotation profane, Mī I, 4, 10   sn. burro chiarificato (RV, AV)
ājyakumbha आज्यकुम्भ n. d’un ustensile, H. Pi. 42, 5    
ājyapa आज्यप les divinité buvant l’ājya: ce sont celles des pra-yāja et anu-yāja (Śb.)   agg. che beve burro chiarificato (Śbr)
ājyabhāga आज्यभाग les deux libations de beurre précédant l’oblation principale (dans le darśa) et destinées à agni et soma; elles consistent en ājya puisé 4 fois (parfois 5) à l’aide du sruva dans la juhū Āp. II, 18, 1 sq.; cf. NVO. 102.   sm. porzione di burro chiarificato (Śbr);
sm. du. due porzioni di burro chiarificato appartenenti ad agni e a soma (Śbr, Mbh)
ājyaśastra आज्यशस्त्र récitation du hotṛ au cours du soma, consistant surtout en RS. III, I3 (= ājyasūkta) cf. CH. 231; il y a un 2me ājyaśastra par le maitrāvaruṇa, également au pressurage du matin at consistant surtout en RS. V, 68; un 3me ib., par la brāhmaṇācchaṃsin, consistant surtout on RS. VIII, 17 et III, 40; un 4me ib., par l’acchāvāka, consistant surtout an RS. III, 12, cf. CH. 244, 248, 262.    
ājyastotra आज्यस्तोत्र chant consécutif aux ājyaśastra (aussi appelé kṣullakavaiśvadevasya stotra) cf. CH. 236, 243, 247, 261. Ces stotra (appelés aussi dhurya, q.u.) sont cosposés sur 8 stances.    
ājyasthālī   pot ou est mis la beurre après que les pavitra ont été disposés; on y puise pour emplir les sruc Āp. I, 7, 5; matière et contenance Vai. XI 9.   sf. recipiente del burro chiarificato
āñjana आञ्जन v. añjana   sn. unguento (spec. per gli occhi) (AV, Śbr)
ātithya आतिथ्य rite d’hospitalité au soma (“hospitale”), lequal est introduit dans l’aire sur le chariot et traité en roi, cf. CH. 53 ; Āp. X, 30. La première phase du rite est l’ātithyaiṣṭi, offrande d’un gâteau à viṣṇu.   agg. adatto ad un ospite, ospitale; sm. ospite, straniero; sf. il ricevere il soma quando è portato nel luogo del sacrificio; sn. 1. ospitalità (RV); 2. rito detto ātithyā (Śbr)
ātman आत्मन् le tronc ou corps proprement dit de l’Autel du Feu, par opposition à la queue et aux ailes Āp. XVI, 17, 11, cf. Minard, Trois Enigmes § 129. C’est normalement un carré à deux puruṣa de côté, Āp. Śulv. VIII, 2   sm. persona o intero corpo considerato come uno ed opposto alle distinte parti del corpo (Śbr)
ādityasthālī आदित्यस्थाली n. d’un recipient usité pour l’oblation aux couples divins du soma, Āp. XII, 2, 4; la coupe afférente est l’ādityapātra, la puisée l’ādityagraha K. X, 4, 4   sf. ricettacolo da cui è tratto l’ādityagraha (Śbr)
ādyartvij आद्यर्त्विज् K. XX, 1, 5 v. ṛtvij   sm. sacerdote principale
ādhavanīya आधवनीय cuvier en argile où est versé en premier lieu le jus de soma (avant d’être tamisé) Āp. XII, 2, 12 (ādhūyate = prakṣālyate somo ‘smine K. IX, 2, 21); cf. ādhavanāḥ (āṃśavaḥ) tiges déversées dans la cuve   sm. vaso in cui la pianta del soma viene mescolata e purificata (VS, TS)
ādhāna आधान ādheya, v. agnyādhāna   sn. 1. il porre accanto o sopra, il posare (Śbr); 2. accensione del fuoco (spec. del fuoco sacro) (Śbr);
ādheya, agg. 1. che deve essere acceso (un fuoco); 2. che deve essere posto o depositato; sn. il collocare (il fuoco sul luogo del sacrificio)
āpyāyana आप्यायन rite consistant à “faire gonfler” les tiges de soma, soit en disant une formule accompagnée d’un attouchement (formule dite elle-même āpyāyana, ex. “tige à tige, ô dieu soma, gonfle-toi pour indra!” VS. 7 etc.), soit en aspergeant le soma d’eau chaude B. VI, 19. Le rite a lieu à voix basse Āśv. I, 1, 20. Cf. Hill. -Mī 1, 40. Dans le paśu il y a un “gonflement” des prāṇa ou “souffles” de la victime morte, fait en répandant de l’eau sur elle, Āp. VII, 18, 6. Il y a 5 āpyāyana au cours de l’agniṣṭoma CH. 220 nota.   sn. atto di rendere pieno o grasso, il saziare
āprī आप्री n. des yājyā (proprement “stances d’apaisement”) dites (avec oblation) par le hotṛ au cours des prayāja du paśu (et de l’aśva, cf. Dumont, L’aśva, 165). Sur les āprīsūkta “hymnes āprī” (au nombre de dix dans la RS., et quelques autres ailleurs), v. Caland ad PB. XV, 8, 1 et en dernier K. R. Potdar JUnivBo. XIV, nº 2, 26   sf. pl. N. di particolari invocazioni pronunciate prima di offrire oblazioni (AV, TS, ecc.)
āmātya आमात्य “domestique”, n. du feu āvasathya, Vādh. (AO. IV, 206), B. II, 8 (glosé laukikāgni)    
āmikṣā आमिक्षा mélange de lait aigri et de lait doux (chaud), obtenu en faisant chauffer du dadhi, K. IV, 15, 2c; plus exactement, c’est la partie solide qui se forme quand on verse du lait aigri (de la veille) sur du lait du matin chauffé, K. IV, 4, 9c, Āp. VIII, 2, 5, Śab. ad Mī II, 2, 23; l’offrande de āmikṣā a les caractères d’une offrande de lait, non de dadhi, Mī. VIII, 2, 19. Syn. payasyā   sf. miscela di latte bollito e coagulato (AV, X, 9, 13; TS; Śbr)
āyatana आयतन emplacement de tel ou tel officiant, de tel ou tel foyer Āp. I, 6, 11   sn. 1. seggio, sede, posto, casa (TS, Śbr, ChUp); 2. luogo del fuoco sacro
āyavana आयवन = mekṣaṇa M. I, 1, 2, 2   sn. cucchiaio o sturmento simile per mescolare (AV)
mekṣaṇa, sn. bacchetta o cucchiaio di legno per mescolare il caru o prenderne piccole porzioni
ārambhaṇīyā (iṣṭi) आरम्भणीया (इष्टि) oblation introductive (du darśa) Mī. XII, 2, 19 cf. anvārambhaṇīyā; (nt.) jour initial d’un sattra, consistant notamment en un ukthya (et faisant suite au prāyaṇīya) Āp. XXI, 15, 8   ārambhaṇīya, agg. con cui si deve iniziare, che costituisce l’inizio
āroka आरोक ouverture de la hutte Āp. X, 5, 3 cf. atīkāśa, atīroka    
ārbhava (pavamāna) आर्भव (पवमान) n. du premier stotra chanté ai cours du pressurage du soir; il est composé sur 20 stances; on dit aussi tṛtīya (pavamāna), cf. CH. 339 Eggeling II, 315    
āryakṛtī आर्यकृती (“faite par un ārya”) autre n. de l’agnihotrasthālī, M. I, 6, 1, 13    
ālambhana आलम्भन fait d’attacher la victime en vue de l’immoler K. IX, 8, 15   sn. l’uccidere, il sacrificare
ālava आलव brins d’herbes coupés (servant à confectionner les muṣṭi) Āp. I, 4, 8 8 (c: yeṣu kāṇḍeṣv ālūnā darghāḥ)   sm. stoppia
āvasathya आवसथ्य foyer situé à l’E. du sabhya, dans la hutte dite āvasatha Āp. IV, 2, 1; d’après V, 17, 1c certains en ignorent l’emploi, d’autres le permettent sans l’enjoindre. C’est un foyer triangulaire, de 25 aṅguli de diamètre Vai. I, 3. le mot āvasatha est glosé atithīnāṃ vāsabhūmiḥ, résidence des hôtes, Āp. V, 4, 8c   agg. (vel. āvasathīya) che è in una casa; sm. fuoco domestico;
āvasatha, sm. abitazione
āvāpa आवाप “insertion”, partie du rite situés entre les ājyabhāga et le sviṣṭakṛt et qui se modifie de cérémonie en cérémonie, par opposition aux aṅga qui sont immobiles Ś. I, l6, 3; Mī. XI; cf. āvāpika “place réclamant une insertion” Āp. XIX, 16, 4.
2) (śthāna) portion d’un paryāya consistant en une “insertion” de versets chantés (dits āvāpika); dans la premier paryāya. l’āvāpa est à la seconde place L. VI, 5, 2. Le terme s’oppose à udvāpa “exclusion de sāman’s” Mī. X, 4, 21.
  sm. inserimento; principale oblazione del fuoco
udvāpa, sm. espulsione
āvāhana आवाहन invitation aux dieux Āśv. III, 1, 12, plus précisément à agni de faire venir les dieux pour qu’ils prennent part à l’offrande (les termes en sont: āvaha devān) V, 3, 7. glosé paricodana I, 3, 17   sn. 1. l’invitare, il chiamare; 2. invocazione, invito
āvīta आवीत v. upavīta   agg. coperto, rivestito (spec. di fili sacri)
upavīta, agg. investito del sacro filo; sn. 1. l’essere investito del sacro filo; 2. sacro filo o cordone (indossato dalle prime tre classi sulla spalla sinistra e sotto il braccio destro) (TS; Śbr)
āvṛt आवृत् 1- procédure (= karman c) Ś. I, 1, 10, cf. daivāvṛt procédure conforme à celle du sacrifice aux dieux; caland ZDMG LIII, 226
2- partie de l’udgītha L. VII, 10, 21: ainsi les mots pavamānāyendave/ abhi devāṁ iyakṣate SV. Il, 1 sont divisés en trois āvṛt, à savoir pā2vā2mānāyendāvā2/ abhi devāṁ iyā1212/ kṣāte.
āvṛtāvṛt répéter une formule ou un acte Āp. I, 4, 6 āvartay- id. II, 9, 4.
   
āvedana आवेदन proclamation du “consacré” faite par l’adhvaryu; cf. CH. 20 et Āp. X, 11,. 5   sn. l’annunciare, l’informare
āśir आसिर् lait aigri battu qu’on mélange au soma, lors du 3me pressurage (rite de l’āśiro ‘vanayanam CH. 336)   sf. latte mescolato con il succo di soma per purificarlo (RV; AV; TS)
āśis आशिस् prière Āp. III, 7, 1 (“moment où le hotṛ dit: ce yajamāna demande longue vie”, etc.); pratyagāśis prière (dite par le yajamāna) en se référant à lui-même, non directement à un acte IV, 1, 3 (c’est le type de formules que murmure le yajamāna et qui constituent sa participation au sacrifice)   sf. il chiedere per, preghiera, augurio (RV, AV, TS, Śbr)
āśrāvaṇa आश्रावण appel lancé par l’adhvaryu à l’āgnīdhra pour que celui-ci invite le hotṛ à prononçer lo vaṣat; il lui dit donc o3 (oṃ3 ou o3ṃ) śrā3vaya (= āśrāvaya) “fais entendre” ou “invite à faire entendre” Āp. II, l6, 2 (ib. 15, 3, Āp. donne le choix entre ā ś*, o ś* seul, ou enfin om ā ś*). L’appel est dit à voix haute XXIV, 1, 10. Dans le rite aux pitṛ, l’āśrāvaṇa se fait au moyen des mots ā svadhā VIII 15 10. Au même sens on a āśruta Āp. II, I5, 6 Vr. I, 1, 1, 47. Pour la réponse, v. pratyāśrāvaṇa.   sn. il far ascoltare, l’invocare (spec. con le parole om, svadhā)
āśvina (graha) आश्विन (ग्रह) puisée pour les aśvin (faite avec la formule VS. VII, 11) au cours du 1er pressurage CH. 182. La coupe afférente est l’āśvina (pātra), à deux coins (i.e. de forme labiée) Āp. XIX, 4, 9; B. 7.2   sn. coppa si soma consacrata agli āśvin
āsandī आसन्दी sorte de canapé en bois de figuier, avec un dossier et des accoudoirs assemblés les uns aux autres par des cordeaux de muñja: le soma est posé sur la peau d’antilope noire étendue sur l’āsandī (ou rājāsandī) Āp. X, 29, 7; siège analogue en udumbara pour recevoir l’ukhya (cayana) XVI, 10, 16; pour recevoir la gharma (pravarghya) XV, 5, 7 (appelé samrāḍ-ā); trône pour le laïc durant le vāja, XVIII, 6, 3; durant le rāja XVIII, 15, 5; siège pour l’udgātṛ durant le mahāvrata XXI, 17, 12. Sorte de litière pour le mort Ś. XVII, 2, 6 (Todteng. 15)   sf. sedia o sgabello (AV, Śbr)
āskanda आस्कन्द mode da chant dans le paryāya extérieur D. XI, 4, 5 et c   sm. modo di recitare
āstāva आस्ताव lieu situé hors du sadas, dans la partie N. de la mahāvedi, au S. du cātvāla, où les chantres assis chantent le bahiṣpavamāna Āp. XII, 19, 7, K. XX, 5, 7c.   sm. luogo in cui è cantato un tipo di stotra (TS, Śbr)
āhavanīya आहवनीय l’un des 3 grands foyers, l’“offertoire”, qu’on allume en prenant le feu au gārhapatya, K. IV, 9, 10. Il est carré et situé dans la partie E. de la sālā, Apar. XXIII, 10, 2; on l’appelle aussi pratisamedhanīya, B. X, 21. Liste des opérations qui y sont pratiquées, Vr. I, 1, 1, 26; il s’agit notamment des oblations faites avec la juhū, H. I, 1, 50, autrement dit des homa, K. I, 8, 44; Ś. III, 19, 4; aussi de la cuisson, K. I, 8, 35. Dans le paśu un feu mis “sur le nombril de l’uttaravedi” joue le rôle de l’āhavanīya, Āp VII, 7, 3   agg. che deve essere offerto come oblazione;
sm. 1. (sott. agni) fuoco sacro preso dal focolare perenne domestico e preparato per ricevere oblazioni
2. spec. fuoco rivolto a est dei tre accesi per il sacrificio (AV; Śbr)
āhārya आहार्य se dit du feu non obtenu par friction, qui partant est a “emprunté” à un autre feu Āśv. VI, 10, 9 (c: aupāsana)   agg. che deve essere preso o posseduto;
āhāva आहाव formule d’ “appel” en śoṃsāvo3ṃ ou śoṃsāvo3 (autres variantes suivant les écoles), soit “récitons tous deux!” — dits par le hotṛ pour inviter l’adhvaryu à reprendre la récitation (pratigara), au début d’un śastra, Ś. VII, 9, 1 (qui donne śoṃsāvo3 au śastra du matin, adhvaryo ś* à midi, śośoṃsāvo3 au soir VII, 19, 6; VIII, 3, 5).   sm. invocazione in cui lo hotṛ si rivolge all’adhvaryu
āhitāgni आहिताग्नि celui qui a “fondé” les feux, qui a organisé un (agny)ādhāna Āp. V, 25, I5 (aussi anvāº IX, 1, 8; anāhitāgni I, 10, 17); a certaines prérogatives, et à sa mort est brûlé avec ses feux et ustensiles sacrificiels, Śab. ad Mī. XI, 3, 34. On distingue les nityadhṛt “ceux qui portent constamment” les feux Ś. II 6 4.   agg. che ha collocato il fuoco sacro sull’altare; sm. colui che compie il sacrificio; il brahmano che mantiene perennemente acceso il fuoco sacro
āhuti आहुति versement dans le feu (āhavanīya) d’une offrande du type juhoti H. I, 1, 50 ; les āhuti ou juhoti ont lieu par l’adhvaryu assis au N. de l’autel, sans accompagnement de yājyānuvākyā, mais avec une clausule en svāhā, K. I, 2, 7. On terme opposé est iṣṭi.   sf. 1. offrire col fuoco oblazioni alle divinità; 2. rito solenne accompagnato da oblazioni (RV, AV, TS)