अविधियज्ञ - vidhiyajña

Louis Renou, Vocabulaire du rituel védique


vidhiyajña, sm. sacrificio eseguito secondo la regola, atto cerimoniale di adorazione

IAST devanāgarī Vocabulaire du rituel védique - Renou Dizionario Sani
caturavatta चतुरवत्त caturavatta-avadāna division en 4 parts des offrandes (cf. avadāna), notamment du gâteau K. II, 3, 11. Consiste en fait en un upastaraṇa, puis en un découpage de deux tranches, enfin en un abhighāraṇa C’est le procédé normal, sauf chez les jamadagni (qui sont pañcāvattin cf, K. l, 9, 3c; Āp. II, 18, 2). Par extension le mot se dit de la puisée de beurre faite à 4 reprises au moyen du sruva dans la juhū Āp. II, 18, 1 (darśa). On appelle caturavattin celui qui a l’habitude de diviser l’offrande quadripartitement Āp. II, 18, 9. sn. tagliato o raccolto quattro volte, che consta di quattro avadāna, quattro avadāna (TS II; Śbr I)
caturavattin, agg. che offre oblazioni che consistono in quattro avadāna
caturasra चतुरस्र caarré sur le sol pour le dépôt des vases à soma K. VIII, 5, 28.  
caturhotṛ चतुर्होतृ n. de formules contenant des désignations mystiques d’officiants (parmi lesquels gén. le hotṛ est le premier), attestées dans TĀ. III, 2 et qui accompagnent un rite particulier (comme les formules paralléles pañca-hotṛ, *ṣaḍº, saptaº, daśaº): tantôt employées indépendamment, tantôt annexées à une cédmonie Āp. XIV 13-15 cf. Weber ISt. X, 139; Eggeling II, 452. Les formules caturhotṛ des maitrāyaṇīya (d’après M. V, 2, 14 et Vr.-pariś.) sont éditées J. Ved. St. II, nº 1.
cāturhotra APar XXIII, 10, 7
sm. sg. o pl. N. di una litania (recitata durante il sacrificio della luna nuova o della luna piena (AV XI, 7, 19))
catuṣṭoma चतुष्टोम se dit d’un agniṣṭoma” quaternaire”, c’est-à-dire où le premier stotra est composé sur 4 stances et où le nombre des stances des stotra suivants augmente chaque fois de 4, soit 4-8-12-16-20-24 (dits respectivement bahiṣpavamāna-stotra, ājyacatuṣṭoma, madhyaṃdina(pavamāna)catuṣṭoma, pṛṣṭhacatuṣṭoma, ārbhava(pavamāna)catuṣṭoma, agniṣṭomacatuṣṭoma, cf. Eggeling V, 329). Il y a un arrangement analogue pour le ṣoḍaśin. sm. stoma che consta di quattro parti (VS XIV; TS V; ŚBr XIII; R I, 13, 43); agg. relativo al catuṣṭoma (ekāha), (AitBr III; TāṇḍyaBr XXI)
camasa चमस gobelet usité notamment dans le soma K. I, 3, 36c: sert pour le repas maigre du yajamāna en dīkṣā pour la conservation des eaux praṇītāḥ [sf. pl. acque prese la mattina del sacrificio - Sani] et surtout pour contenir le soma destiné aux libations et consommations de chaque officiant. ll y a dix camasa (Āp. XII, 2, 8) ou onze (facultatif est le 11me, destiné au sadasya) qui sont affectés aux officiants dits camasin, mais temporairement tenus par “les adhvaryu de gobelets” (camasādhvaryu), lesquels exécutent le prasthitahoma (CH. 208) et les opérations annexes. Les camasa sont en bois de nyagrodha, quadrangulaires et distingués les uns des autres par la forme de la poignée (CH. 108 note K. I, 3, 36c ). Les camasādhvaryu, choisis par le ṛtvij, sont distincts de ceux-ci Mī. III, 7, 25. sn. (sn. sf. ī) recipiente usato durante i sacrifici per bere il soma, tipo di piatto piano o coppa o mestolo (generalmente di foma quadrata, fatto di legno e provvisto di manico), (RV, AV, VS)
camasin चमसिन् se dit de tout officiant qui a droit à un camana, c’est-à-dire les 7 hotra (possesseurs d’un dhiṣṇya) et en outre le brahman, l ‘udgātṛ, le yajamāna (éventuellement le sadasya) B, II, 3; Āp. XIII, 17, 9. Mais par exemple le grāvastut n’est pas un camasin parce qu’il boit dans le camasa du hotṛ. agg che ha diritto di ricevere u camasa (pieno di soma)
camasīya चमसीय relatif au gobelet de tel officiant B. VII, 5,  
camasonnayana चमसोन्नयन rite de l’emplissage des gobelets par l’unnetṛ CH. 204.  
cayana चयन v. agnicayana sn. 1. l’accatastare (legna, ecc.), (AV XVIII, 4, 37; ŚBr. IX s.)
caru चरु chaudeau, mets de grains (de riz) non pilés cuits dans l’eau avec le lait ou le beurre et servis dans une sthālī (dite caru-sthālī Vai XI, 9). ou encore cuits à la vapeur (antarūṣmapakva) APar, XXIII, l, 4 Āp. passim. Sert à de multiples oblations, ainsi le saumya-caru ou chaudeau à soma., offert au cours du 3me pressurage (CH. 362) et comportant un “mirage” (avekṣaṇa). Ou encore le pañcabila caru offert dans un plat à 5 cavités K. XV, 9, 1 (rāja) Āp. XX, 25, 2 (puruṣamedha). sm. tipo di recipiente (in cui si prepara una particolare oblazione), padella, vaso (RV, AV, ŚBr XIII, Mn)
caṣāla चषाल 1) pièce de bois, 8 angles, 1 main de long, incurvée au centre Āp.VII, 3, 4; s’applique au haut du yūpa comme un turban, fixée dans une cheville qui la dépasse K. VI, 1, 30.
2) roue en farine fichée au haut du poteau (vāja) XIV, 1, 22.
sm. anello di legno sulla cima di un palo sacrificale (RV I, 162, 6; ŚBr; Kāth XXVI)
cāturmāsya चातुर्मास्य féries quadrimestrielles, l’un des haviryajñacāturmāsya suite de fêtes dont le total s’étend sur un an et qui sont divisées en 3 ou 4 parvan, vaiśvadeva, varuṇapraghāsa, sākamedha, (śunāsīrīya)cāturmāsya ce sont des iṣṭi, dont les 3 principales coïncident avec le début des 3 saisons fondamentales, printemps, pluies, hiver (la date de la 4me n’étant pas fixée). Lo mot se dit aussi de victimes “saisonnières”, propres à l’aśva, dont le sacrifice est en relation avec lea 4 féries susdites Āp. XX, 14, 7 (liste des animaux VS. XXIV, 14 sqq.) cf. Eggeling V 309. sn. inizio di una stagione di quattro mesi (MBh XII, 1007); N. dei tre sacrifici compiuti all’inizio delle tre stagioni di quattro mesi (TS I, 6, 10; Tur I s.; ŚBr); agg. che appartiene a tali sacrifici (ŚBr XIII, 2, 5; KātyŚr XXII; MuṇḍUp I, 2, 3)
cātuṣprāsya चातुष्प्रास्य qualification du brahmaudana en tant que “propre à être consommé par les 4 (officiants)” D. XII, 1, 16. agg. cibo sufficiente per quattro persone (ŚBr II, XI)
cātra चात्र v. s. araṇi cāttra ? sn. tassello usato con l’araṇi
cātvāla चात्वाल fosse servant aux purifications et sise hors de la vedi, près de l’angle N.-E.; elle sert pour les soma et paśu seuls; on en extrait la terre pour faire l’uttaravedi Āśv. l, 6c; Āp, VII, 4, 1; creusement du cātvāla, Schwab 21.
Fosse en général d’où l’on a tiré la terre destinée à couvrir la surface de l’agni Āp. Śulv. XIV, 3.
sm. sn. buco nel terreno destinato alla costruzione dell’uttaravedi (TS VI s.; TBr I; ŚBr III)
citi चिति empilement de briques, notamment pour l’Autel du Feu Āp. XVI, 35, 8; lequel se compose de 5 assises (pañcacitīka XVI, 15, 3), consistant en un certain nombre de briques portant des noms spéciaux (svayamātṛṇṇā, aṣāḍhā,yajuṣmatī, lokaṃpṛṇa etc.}, chaque assise étant séparée par de la terre prélevée dans le cātvāla. La forme de l’Autel est variable (droṇa, roue, oiseau du type faucon,héron, etc.) K. XVI, 5, 9; dimensions Āp. Śulv. passim; diagrammes J. Ved. St. I nº 1-3; nombre total des briques (selon K.) Weber ISt. XIII, 255; Eggeling IV, 22. Le terme s’mploie aussi en parlant du bûcher funéraire Todteng. 35. Cf. agni(cayana).
punaściti, réinstauration d’un Autel du Feu Ālp. XVII, 24, 11.
sf. strato di legna o mattoni ecc., pira, catasta, catasta funeraria (TS V; ŚBr VI, VIII; Mn IV, 46; MBh ).
punaściti, sf. l’accatastare di nuovo (TS, śBr)
cubuka चुबुक partie antérieure du chariot à soma (= mukha), reposant au sol quand le chariot est immobile Āp. X, 24, 4; B. VIII 11 (= tuṇḍa). sn. parte superiore di un altare