अविधियज्ञ - vidhiyajña

Louis Renou, Vocabulaire du rituel védique


vidhiyajña, sm. sacrificio eseguito secondo la regola, atto cerimoniale di adorazione

IAST devanāgarī Vocabulaire du rituel védique - Renou Dizionario Sani
dharuṇa धरुण emplacement où se fait la puisée de l’ājya Vādh. (AO. II 162). sn. base, fondamento, terreno stabile, suolo stabile della terra
dhavitra धवित्र trois éventails en peau d’antilope pour éventer le gharma Ap. XV, 5, 12 (Pravargya) sn. ventaglio (fatto di pelle o cuoio, spec. per soffiare sul fuoco sacrificale) (ŚBr; TĀr, ĀpŚr)
dhāna धान grains d’orge grillés pilonnés Āp.XII, 4, 10 (savaṇya- puroḍāśa du soma).  
dhāyyā धाय्या stances intercalaires dans une récitation ainsi dans le Marutvatīya CH 300, notamment deux stances insérées dans le groupe normale des 15 sāmidhenī pour en obtenir 17, cf. Āp. VI, 31, 18; XIX, 18, 3. sf. verso aggiuntivo inserito in certi versi
dhārā धारा jet de soma, qui est “ininterrompu” en passant de l’ādhannīya à la coupe Āp. XII, 13,3 et cf. s. graha. Se dit du jet d’eau (ininterrompu) versé du gārhapatya à l’āhavanīya (udaka-dhº) Āśv. II, 2, 14. sm. sn. corrente, zampillo
dhārāgraha धाराग्रह graha puisé de plein jet (cf. s. graha) Āp. XIV, 2, 4, de l’antaryāma au dhruva K. IX, 6, 26c.  
dhiṣṇ(i)ya धिष्ण्(इ)य n. des huit foyers affectés à certains officiants du soma, cf. CH. 104: à savoir, à l’āgnīdhra (appelé āgnīdhrīya), au hotṛ (hotrīya, au maitrāvauṇa (appelé praśāstrīya), au brāhmaṇācchaṃsin, au potṛ, au neṣṭṛ, à l’acchāvāka - c’est-à-dire aux “sept hotṛ” - enfin le foyer mārjālīya. Séparés de deux empans l’un de l’autre, ils sont de forme variable (carrés ou ronds), situés presque tous à l’intérieur du sadas; dimensions décrites Āp. Śulv. VII 12 sqq. On ne fait d’oblation que sur l’āgnīdhrīya, cf. Āp. XI 14, 1 sqq. Ce sont des tertres de sable (d’où leur nom pāṃsu-dhº XII, 18, 3), sur lesquels on dépose le feu. Ils sont en briques dans le cayana mais entourés de petites pierres et recouverts de gravier K. VIII, 6, 16. Par extension, le mot désigne aussi les autres “tertres”, c’est-à-dire le cātvāla, l’utkara, etc. Āp. XI, 14, 9. Cf. Eggeling II 148.  
dhur धुर् (du.) les deux pièces terminales du joug, dans le chariot où le soma est chargé CH. 49; Āp. I, 17, 6 glosé: espace formé par les deux cavités du joug (c). Sur le mot dhur et yuga(dhur) (aussi III, 8, 4), v. Sommer Die Sprache I, 150. sf. giogo, fardello, carico (RV), timone o stanga di una carrozza (spec. la parte anteriore)
dhurya धुर्य (“à mettre au joug”) type de stotra (autre que les pavamāna et au nombre de 4; autre n. ājyastotra) K. IX, 14, 5c. agg. adatto a essere attaccato al carro o imbrigliato
dhuvana धुवन fait d’éventer le mort (du pan d’un vêtement) Āp. XXXI, 5, 23, cf. Todteng. 135 = dhūnvana H. Pi. 37, 8; cf. yamaṃ dhunvanti “ils éventent yama” (Aśva) Vādh. (AO. IV, 197). sn. tremore, agitazione
dhūpana धूपन fait d’enfumer le gharma avec du crottin sec de cheval qu’on a enflammé Āp. XV, 3, 17 (pravargya). sn. fumigazione
dhṛti धृति 4 oblations en vue de “retenir” le cheval (Aśva) K. XX, 3, 4. sf. il tenere, l’afferrare, il mantenere (RV); N. di particolari oblazioni serali durante l’aśvamedha (ŚBr)
dhṛṣṭi धृष्टि tisonniers (au nombre de deux) pour la préparation du gharma Āp. XV, 5, 11, 9, 1; = upaveṣa (en mantra), q.u. Vai. XI, 9 désigne le dhṛṣṭi comme “un bâton quelconque long de deux tāla sm. paio di pinze, tenaglie
dhruvagopa ध्रुवगोप auxiliaire du sadasya et gardien du dhruvagraha (ou dhruva tout court) - c’est-à-dire d’une puisée “ferme” de soma, faite avec la dhruvasthālī au cours du premier pressurage – B. II, 3; ce gardien, qui a la charge du dit graha jusqu’au pressurage du soir, est un “fils de roi” VII, 7. Sur la puisée en question, cf. CH. 167. sm. protettore del graha chiamato dhruva (Br)
dhruvā ध्रुवा cuiller en bois de vikaṅkata Āp. I, 15, 10, de la taille de l’agnihotrahavaṇī: elle reste en principe en permanence (d’où son nom) sur la vedi APar. XXIII, 2, 5 Vai. XI, 7 (où sont données sa forme et ses dimensions); on y puise pour les libations le beurre dit dhrauva Ś. V, 8, 2c. C’est l’une des trois cuillers principales avec le sruva et la juhū avec lesquelles elle se combine pour les oblations, le sruva et la juhū servant notamment aux pra= et anu-yāja, la dhruvā aux ājyabhāga Āp. VIII, 10, 4. sf. il più grande dei tre cucchiai sacrificali
dhvānena ध्वानेन en prononciation murmurée, de manière à être entendu (prononciation propre aux patnīsaṃyāja) Āp. III, 8, 8.